Chaque élément doit avoir sa propre histoire, légende. Sinon, le monde environnant se transformera en espace, toute route deviendra un vecteur, une maison confortable se brisera sur un plan de densité et de couleur différentes. En pensant à la conception automobile, je me souviens souvent des plans du fantastique film anti-sculptopie «Equilibrium».
L’intrigue du film se déroule dans une Nouvelle-Bretagne fictive — un pays dont les résidents prennent un médicament quotidiennement, castrant complètement une sphère émotionnelle. Les mêmes habitants sans visage sans visage marchent dans les rues. Les vêtements sont fonctionnels et simples, les voitures n’ont pas de marques — les berlines sans visage sans visage sont peintes en blanc et en noir — des blancs contrôlés sur roues.
En regardant la variété des formes et des fleurs remplissant les flux de voiture de la ville, il semble que rien de la vraie vie ne peut être. Mais peut-être que vous supprimez le concept de conception, et cela se révélera presque ce que les citoyens soviétiques ont vu sur les routes, de la fin des années 60 à la fin de Perestroika.
Les autorités soviétiques n’aimaient pas du tout que quelqu’un ou quelque chose se démarque. Et après avoir trouvé une certaine forme une fois, personne n’était pressé de la changer. La constance infinie de la forme et le manque d’évolution de la conception ont transformé la Volga, la Lada, les Cosaques et les uaziki en la grande berline, la petite berline, une demi-heure de honte et de SUV militaire ». Si l’apparence de la voiture n’est pas mise à jour, dans des conditions de concurrence gratuite, ce sera très ambulance — il cessera simplement de l’acheter.
C’est pour cette raison, en essayant de conquérir les actions sur le marché des voitures neuves, les Coréens hyperactifs organisent le re-repos de toute la gamme de modèles presque tous les deux ans — ces Asiatiques sont en train d’ajouter de nouvelles impressions, une par une. L’année dernière, nous avons admiré les lignes de modèles qui coulent créées dans le concept de «sculpture fluide», et cette année, le «front de la tempête» a été remplacé. Le premier modèle de série créé dans cette veine était Hyundai Santa Fe — le héros de notre test.
Le Santa Fe mis à jour de la troisième génération a été montré aux journalistes ce printemps. En avril, le concept réalisé a été solennellement déployé sur le défilé du concessionnaire automobile de New York. «Storm Front» — ce que les concepteurs qui ont créé l’extérieur de ce crossover voulaient dire ce nom avec ce nom? Essayons de comprendre en comparant son apparence avec la génération précédente.
Si nous mettons des représentants à proximité de la deuxième et de la troisième génération de ce SUV, il devient clair qu’il n’y a pas de continuité, ce sont des modèles complètement différents. Les phares bioniques en forme de faucille aiguisé, des côtes de panneaux de carrosserie descendant, dessinant une couche de corps, une agression lisse des amygdales des consoles optiques arrière et un gonflement athlétique des arcs de roue — rien en commun avec le calme modéré du «nuage passé« nuage ”Santa Fe.
Cela ne veut pas dire que l’ancien Santa Fe est laid — son apparence est noble et équilibrée, mais il n’y a aucun enthousiasme audacieux en lui. Au moment du développement de la deuxième génération de Santa Fe, les Coréens n’ont pas encore bien compris les goûts du consommateur occidental et ont été prudents. Presque tous les croquis de voitures de cette période ont été développés par le département coréen de la conception automobile de Hyuindai «au toucher», sans l’implication des spécialistes occidentaux. Bien que, comme les résultats des ventes en Amérique du Nord l’ont montré (deux tiers du marché Hyundai se trouvent aux États-Unis), les gens occidentaux ont aimé le concept restreint d’origine des Coréens.
Mais personne n’aime travailler aveuglément, donc le président de Hyundai, M. Kim Chunho a invité au poste de concepteur en chef de la branche européenne de la marque, le chef du studio de design de la BMW Company, Thomas Brutkah lui-même. Étant donné que les plans de la tenue coréenne à croissance rapide incluent (et restent) des plans pour conquérir une part sur le marché des voitures premium, ce type de spécialiste ne pouvait pas se passer d’un spécialiste.
Ainsi, après une demi-année de négociations, le Dardy a donné son consentement pour diriger le studio européen de design Hyundai. À bien des égards, la décision de Thomas a été dictée par une perspective unique de créer un look complètement nouveau de toute une marque mondiale. Les créateurs visent toujours une maximum de liberté d’action et de travailler sur une marque premium aussi bien établie car BMW ne pouvait pas donner au designer allemand à l’apparence reconnaissable des machines bavaroises uniquement dans les petites choses que dans les petites choses.
Le premier travail grave mis en œuvre de Thomas Brutabil a été le concept du sport désormais en série Cape Hyundai Genesis. Avec ce modèle, l’introduction d’un nouveau design européen à l’image de la marque a commencé. Au fil du temps, sous l’influence des départements américains et coréens de la conception de la marque, le concept de sculpture fluide »a été transféré aux berlines en série Hyundai — comme Elantra, Solaris ou Veloster, mais elle n’est pas arrivée à la deuxième génération Santa Fe Fe.
La principale caractéristique distinctive de la nouvelle identité de la marque était des détails tels que le rhombus hexagonal de la calandre du radiateur et les lignes de fluide très douce de la console centrale, s’écoulant en douceur dans une torpille. Sachant cela, nous pouvons dire en toute sécurité que la deuxième génération de Santa Fe n’a pas trouvé le repos «fluide», passant cette étape, devenant immédiatement le visage du «front orageux».
Honnêtement, il n’y a pratiquement aucun sens de s’engager dans une réconciliation méticuleuse de ces voitures. Regardez la console centrale du nouveau Santa Fe — Ses formes ressemblent aux ailes étalées d’une pente cybernétique, sur l’estomac dont il existe une exposition de systèmes de soutien à la vie et de manipulateurs, de modes de combat programmatique. Chaque détail à l’intérieur de Santa Fe, allant de la console de transmission automatique, se terminant par des panneaux en plastique des fenêtres de porte, est conçu dans le même style — des décharges auto-tendues qui forment une seule image complète.
Et surtout, une conception de très haute qualité ne devrait pas aller à l’encontre de l’ergonomie des organes directeurs. La compétence la plus élevée est le développement de la conception à travers le prisme de l’ergonomie. Pour comprendre cette phrase pathos extérieure, rappelez-vous à quoi cela ressemble (et, si vous avez tenu, comme il se trouve dans votre main), le légendaire fusil d’assaut Kalashnikov. Ce n’est pas une arme, c’est un symbole, une œuvre d’art.
De plus, assis dans une voiture, vous devez sentir que tous les contrôles sont à votre main — tout devrait être extrêmement clair, abordable et lisible. À cet égard, Santa Fe peut être appelé l’une des machines exemplaires — l’ajustement de la chaise et le volant a une gamme très large, l’inconfort ne peut être ressenti que par les personnes handicapées en croissance. Certes, peu importe comment j’ai essayé, je ne pouvais pas configurer la position optimale du rouleau de support lombaire. Peut-être que je n’ai pas compris les clés, mais très probablement, c’est juste plus pratique pour moi sans ça.
Par ailleurs, il vaut la peine de prêter attention au système insonorisé et acoustique de la voiture. Sur ces points, Santa Fe n’est plus Hyundai. Je me souviens très bien de la façon dont la génération passée du Père Noël sonne et brouille — un pas en dessous. La dernière fois, j’ai rencontré une telle pureté de l’image acoustique et la douceur de l’élimination du bruit externe lorsque je me suis assis derrière le volant de Mercedes ML 500 4MATIC. Soit dit en passant, ces voitures sont quelque peu similaires au profil, mais ce n’est pas à ce sujet.
Sous la douceur de l’élimination du bruit externe, je veux dire un mince écart entre «bruyant des arches» à «pas une putain de chose». L’absorption du son confortable doit être de telle sorte de couper complètement les bruits aérodynamiques, mais dénotant une légère presse à grondement sur la pédale de gaz. Pour couronner le tout, l’équilibre parfait devrait être tel que vous arrêtez d’entendre les joints de slap de la chaussée sur un volume de cinq pour cent des haut-parleurs. J’espère que vous avez présenté le degré d’isolation solide du salon du nouveau «Père Noël».
Quant au son du système stéréo, il n’est pas mal au niveau du segment European Premium, mais n’atteint toujours pas le son de référence des systèmes de classe haute fin.
Le son n’a pas de profondeur enveloppante des fréquences de basse et du contraste cristallin du son des connotations. Bien que vous ne devriez pas chercher des défauts où tout va bien. Si vous n’êtes pas un fan fou d’une ampoule chaude ou d’un vinyle vierge, vous aimerez. Il suffit de coller un lecteur flash, d’ajouter le volume, de fixer votre ceinture et de profiter de la route.
C’est intéressant, mais jusqu’au dernier moment, je ne savais pas que je contrôle la version diesel de Santa Fe-la dynamique de l’accélération du moteur 2, 2 litres, 197 chevaux, en plus d’un couple solide (436 N · m Dans la gamme de 1800 à 2500) accélèrent à deux tons (1882 kg) une voiture jusqu’à cent en seulement dix secondes. Faites défiler ces nombres dans la tête afin de comprendre ce que 436 n · m du bas sur toute la transmission — deux tonnes de fer, de verre et de plastique, sans casser les roues, mais tirez de manière convaincante dès le départ aussi vivement que si s’il Vous étiez qu’ils contrôlaient une berline passager.
En plus de cela, Santa Fe est en stable légère et ralentit parfaitement, l’essentiel n’est pas d’économiser sur le caoutchouc afin que les propriétés d’adhésion des pneus soient suffisantes pour utiliser efficacement des freins puissants. Par souci d’intérêt à plusieurs reprises, j’ai accéléré à quatre-vingts kilomètres par heure sur une route de neige en douceur et pressé de toutes mes forces aux freins. L’ABS est déclenché par des pokes croquants de la vitesse de la foudre, clairement distribués le long des axes du système de stabilisation, arrêtez ce buff.
Un vieillissement agricole similaire inspire la confiance dans la machine et le respect des ingénieurs qui ont développé ces freins. Mais ne rejouez pas — aucune stabilisation ne fait que les lois de la physique. Malgré les «assistants» constamment inclus, à plusieurs reprises, à baiser dans des virages aigus dans la neige roulée, j’ai réussi à déchirer la voiture de la trajectoire. En même temps, si la subaru tout-roue de roue aide à récupérer en explosant la neige insaisissable de la route avec les quatre, confortable et le même Santa Fe à traction qui est tombé dans un rack d’une force centrifuge irrésistible.
En général, pour une voiture civile qui ne s’applique pas aux récompenses sportives, un tel comportement est typique. Cette machine devrait se réconforter et ne pas inciter le pilote à une folie risquée et chère.
Soit dit en passant, le coût de la voiture elle-même — notre copie de test, une diesel de 197 chevaux à roues motrices Hyundai Santa Fe dans la configuration sportive coûtera au propriétaire de 1 725 000 roubles. C’est beaucoup ou peu à juger, il n’est possible qu’en comparaison avec d’autres représentants de la classe de croisements de taille complète. Et pour l’adéquation de l’évaluation, gardez-vous dans votre esprit un nouveau, mais entièrement justifié, Brutric, Brutric, a atteint l’objectif souhaité, la nouvelle génération de Hyundai devrait être attribuée à la classe premium.